Re: Deux jeunes aventuriers seuls au beau milieu de la forêt

**Elenyah** Sam 10 Oct - 22:24

C'est la fureur qui a guidée mes gestes.

En effet, l'Elfe eu tellement mal lors de l'attaque au moment où elle reçue le coup de dague qu'elle ne pu s'empêcher de se venger le plus rapidement possible.

**Arghor** Sam 10 Oct - 22:31

Ils ne faut jamais se soumettre à sa colère, sauf lors de grandes batailles. Nous sommes en temps de guerre, et l'occasion d'acquérir des informations sur l'ennemi est extrêmement rare. Bien que ce soit l'apparence qu'on nous donne par les mots, la guerre ne consiste pas à tuer tout ce qu'on peut trouver sur notre chemin.

Puis il s'agenouilla.

Montrez-moi votre épaule.

**Elenyah** Sam 10 Oct - 22:33

Elenyah s'agenouilla également et extirpa son épaule de la manche de sa tunique. Elle fit une grimace.

**Arghor** Sam 10 Oct - 22:37

Vous avez l'air très affaiblie. Je ne pensais pas que ce malade allait vous foncer dessus.

Il sortit le fameux bout de tissus qui avait maintenant servis plusieurs fois aux deux aventuriers. Il le mit sur son épaule et appuya fort dessus.

Vous n'avez pas l'air de perdre tant de sang que ça, mais ça doit être douloureux. On va rester là quelques instants. De toute façon nous sommes peut être en avance. Attendez-moi là.

Il se tourna et fit deux/trois pas vers le cadavre afin d'examiner ce qu'il en reste.

**Narrateur** Sam 10 Oct - 22:38

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'Dé à 20 faces' : 17

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'Dé à 20 faces' : 13

L'elfe portait sur lui une lourde bourse. Arghor l'ouvrit, et se rendit compte qu'elle contenait pas moins de 13 pièces d'or.

Arghor gagne 13 pièces d'or.

**Arghor** Sam 10 Oct - 22:44

Il revint s'asseoir près de l'Elfe.

Il avait pas mal d'argent sur lui. Il m'est inutile. Bien que j'imagine que nous survivons avec notre argent à tout les deux partagé, prenez les pièces qu'il transportait.

Arghor donne à Elenyah 13 pièces d'or.

**Elenyah** Sam 10 Oct - 22:49

Elenyah déposa sur la joue du guerrier un doux baiser.

Merci Arghor...

Ses joues s'empourprèrent alors. Pour qu'Arghor ne s'en rende pas compte Elenyah décida de se blottir contre Arghor.

**Arghor** Sam 10 Oct - 22:53

Il passa son bras autour de son cou.

Reposez-vous, car on ne peut pas rester ici éternellement. On a quand même encore un bon bout de chemin à faire et qui sait ce que nous pouvons attirer si nous restons trop longtemps ici.

**Narrateur** Mer 21 Oct - 19:33

Le temps passait. Elenyah, sans le vouloir, s'endormit à cause de sa fatigue et de sa douleur. La jeune Elfe était faible, et était partie dans un sommeil profond en un rien de temps, blotti contre le guerrier, qui veillait sur elle. Moins d'une heure après, le soleil ressortait, ce qui faisait apparaitre de curieux et magnifique rayons lumineux à travers les arbres.

**Arghor** Mer 21 Oct - 19:37

Elle s'est endormie ? La pauvre fille... Je ne vais pas la réveiller maintenant. Je ne peux pas.

Il la laissa alors dormir, mais une fois qu'il ait vu apparaitre ces curieux rayons de soleil, il en déduit que le temps passait assez rapidement. Il secoua alors très légèrement la jeune Elfe, qui dormait profondément. Il lui chuchotait à l'oreille.

Ma Elenyah... Il vous faut vous réveiller... Mais vous dormez trop bien, je ne sais pas si vous m'entendez. Réveillez-vous, ma bien aimée, ma déesse... Réveillez vous...

**Elenyah** Mar 27 Oct - 21:58

Elenyah réouvrit doucement les yeux. Mettant quelques instants à se rendre compte de l'endroit où elle était.
Excusez moi Arghor, j'étais si si bien... Remettons nous en route.

**Narrateur** Mar 27 Oct - 22:01

Les aventuriers reprirent donc la route. Il faisait beau maintenant, mais les arbres cachaient quelques forts rayons de lumières s'abattant sur la forêt. Elenyah était fatiguée. Arghor était encore en forme, mais n'aurais pas eu le courage d'enchainer un second voyage comme celui-ci sans un repos.

**Narrateur** Mar 27 Oct - 22:01

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'Dé à 20 faces' : 18

C'est alors qu'après de longues heures de marche, les arbres commençaient à diminuer. Plus ils marchaient, plus les arbres disparaissaient, jusqu'à ce qu'ils ne se retrouvent en train de marcher dans une immense plaine, dont on ne voyait pas le bout. Le chemin s'était élargit. Alors ils marchèrent encore et encore jusqu'à ce qu'une tour se fit à peine apercevoir.

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